Le singe se balance au loin...
Il cherche, trouve et saisit le baton.
Pourquoi ne frappe il pas?
Car il a simplement comprit que le morceau de bois mal degrossi l'aidera a se nourrir et non a tuer.
Mes pas s'enchainent.
Ils se suivent l'un aprés l'autre, ils n'ont plus raisons d'être mais pourquoi aprés tout s'arreteraient il aprés une si longue marche.
Non ils sont peut être tout ce qui me reste a part ces souvenirs.
Combien de temps que je suis partit.
Des jours, mois ou années, aprés tout.
Oui un pessimisme général s'emparait de moi en cet instant ou tout sauf ce vil sentiment aurait dut s'établir.
L'arrêt de mon corps signifiait beaucoup.
Des mois que j'arpentait les routes.
J'avais même apprit la peinture pour montrer son portrait aux voyageurs qui croisaient ma route.
J'avais exterminé des bandes entières de renegats...
Des dojos de dechets qui se disaient Shinobis...
Je n'avais que mes poings pour seul guide et mon anonymat pour gardien.
Au fil des mois de desertions.
Depuis ce soir ou je m'étais engagé auprés d'eux et ou l'ont ne m'avait revus.
Ma barbe avait poussées.
Longues de prés de 20 centimètres, elle rejoignait mes cheveux qui aprésent couraient jusque dans le milieu de mon dos.
Une sorte de bête en campagne.
Mes habits avaient changés. Alors que je me complaisais dans le lin et la soie, le coton aujourd'hui, ce déguisement de voyageurs était resté sur longtemps sur moi qui fesait seconde peau.
je vivais ce personnage. Heureux de me tirer de ces problemes d'identitée.
Mais a present que le paysans loqueteux se tenait devant les sources chaudes, il n'avait plus rien de misérables...
Mes yeux s'étaient fixés, sur l'endroit de notre rencontre...
Mes oreilles entendaient encore sa voie si tranchante a l'époque, mon coeur se souvenait de ma gêne...
je pleurais chaque jours.
Cette époque qu'ont m'avait volé, dont je n'avais pus profité assez longtemps pour regarder derrière moi et dire "ce n'est pas grave... je l'ais vécu"...
mais est ce qu'une vie était suffisante pour explorer le monde a tes cotés.
Explorer l'amour et la mort avec elle...
Sayuri.... ma Sihaya...
Mon âme ...
Depuis longtemps mes pas n'avaient pas foulés Kyofuu...
Je comprennais pourquoi...
Chacun de ces lieux était chargé d'émotions. Contemplant chaque souvenir comme un vieil amant passioné... Comme si tout ceci n'était qu'une autre vie, un fruit defendu qu'ont m'aurait retiré a peine mes lèvres se tendaient pour le gouter.
Mon amour était la... vibrant d'émotion... Vibrant comme au premier jour...
Au jour de cette rencontre dans les sources chaudes de Kyofuu no mura...
Le vigile avait apercu le mendiant qui se semblait se receuillir.
Bizzarement il n'était pas intervenu.
Le plus étrange fut que quand il voulu voir si tout allait bien aprés plusieurs heures a le regarder pleuré.
Il avait tout bonnement disparut...
La remarque fut annoté dans son journal de rapports.
Oui, je l'avais berné... j'en bernerais encore beaucoups...